De temps en temps, on nous pose la question d’expliquer DownToZero et ce qui le distingue des autres services cloud à des personnes non techniques. Nous avons essayé plusieurs explications, mais nous avons trouvé une analogie qui parle à la plupart des gens. Nous voulions la partager ici pour rendre notre principe accessible à un plus large public.
Après une longue journée de travail, vous conduisez pour rentrer chez vous. Arrivé chez vous, vous vous garez dans votre allée, éteignez la voiture et entrez dans la maison. Même si vous prévoyez de faire des courses plus tard dans la journée, vous éteignez quand même la voiture parce que la laisser tourner semble être du gaspillage.
Plus tard dans la journée, vous retournez à votre voiture pour aller faire vos courses. Vous remettez la voiture en marche et conduisez jusqu’au magasin. En revenant à la maison, vous éteignez votre voiture pour la nuit. Même s’il fait froid la nuit et que ce n’est pas pratique que le chauffage se mette en marche et que les sièges chauffants se réchauffent le matin, nous éteignons quand même la voiture. Garder la voiture en marche semble ridicule pour juste quelques minutes de mise en chauffe.
Pour les voitures, nous avons développé la compréhension qu’il n’est ni pratique ni rentable de les garder allumées en permanence. Nous acceptons une phase de mise en chauffe, et les fabricants ont beaucoup investi pour rendre cette phase plus confortable.
Maintenant, pour les services informatiques et les machines, nous nous attendons à ce que tous les services soient actifs en permanence. La raison est la commodité, donc nous optons toujours pour le « toujours allumé » parce que le coût est acceptable. DownToZero rompt avec cette habitude en éteignant tout ce qui n’est pas utilisé. Cette approche s’appelle la « mise à l’échelle vers zéro ». Nous intégrons la mise à l’échelle vers zéro à chaque point possible parce que pour atteindre la durabilité, il ne suffit pas d’avoir de l’énergie verte ou des processeurs plus efficaces, il faut aussi éteindre les logiciels inutilisés. Nous croyons que suivre cette voie aura l’impact le plus important. Nous l’avons fait pour les voitures, et il est naturel d’utiliser les voitures de cette façon. Il est maintenant temps d’appliquer ce paradigme au logiciel également.